dimanche 27 octobre 2019

[+18] NATATION DANS LES PROFONDEURS

Tous les récits publiés sur ce blog sont de pures fictions. S'il s'avère qu'un récit est tiré d'une histoire vraie, ce sera précisé en haut de page. Les propos tenus par les protagonistes, leurs opinions, leur rôles et leurs idées ne représentent en rien les miens et ne reflètent que ceux d'un personnage imaginaire.



   J'étais assez anxieux à l'idée d'aller à la piscine. Je n'aimais pas trop me montrer en maillot de bain, il me boudinait. Bizarrement, je préférais encore être à poil plutôt que de porter ce truc élastique qui faisait ressortir mes petits poignets d'amour. Mais si j'y allais c'était aussi pour les perdre. La deuxième raison, c'est que j'aimais pas les endroits blindés de monde, d'enfants, de brutes qui éclaboussent sans arrêt. Pourquoi ils n'envoient pas les parents et leurs enfants dans une piscine à part, dans une salle à coté ? Là où on peut nager normalement sans envoyer une goutte d'eau dans l’œil d'un bébé puis affronter les regards meurtriers des parents ? La dernière raison et sans doute la plus importante, je ne savais pas nager. Enfin si, je nageais, mais seulement entièrement dans l'eau. Si je sortais la tête, je coulais à coup sûr. J'avais l'air d'un petit chien tombé dans l'eau par inadvertance, en panique.

   Rajoutez à ça le fait que mon maillot de bain ne tenait pas car j'avais perdu l’élastique, je ne sais pas où ni comment, et l'après-midi piscine s’annonçait grandiose. Je suis donc arrivé dans cette piscine municipale, j'ai dis bonjour aux gens de l'accueil, une femme brune et un homme châtain clair. Il n'y a que ce dernier qui m'a dit bonjour en retour, bien qu'il m'ait paru vachement antipathique. Les gens qui bossent dans les piscines sont souvent dénués d'empathie de manière générale. Je ne les aime pas. Je suis donc allé me changer, enfiler ce slip de bain moulant qui tient à peine pour aller prendre la petite douche obligatoire préalable à la baignade.

   Arrivé au bord de la piscine, personne n'avait l'air de me regarder bizarrement. Mon corps devait finalement être dans la norme. Il y avait un grand bassin avec des lignes prédéfinies pour les sportifs qui venaient se sculpter le corps, un autre grand bassin pour ceux qui voulaient plutôt se divertir et une pataugeoire pour les enfants de 3 à 6 ans accompagnés des parents. Je me suis donc avancé vers le bassin "sportif". Si j'étais venu jusqu'ici dans cette tenue ridicule, ce n'était pas pour simplement me baigner. Je voulais fondre, me faire un beau corps. 

   Deux maîtres-nageurs étaient perchés sur des chaises hautes, scrutant les nageurs. Ils donnaient parfois des coups de sifflet quand un adolescent faisait boire la tasse à son pote ou qu'une connasse trouvait malin de plonger comme une bombe au milieu des gens. La piscine, c'est pas très différent de la vraie vie, les cons gênants restent cons et gênants. Ils sont aussi énervants ici qu'ailleurs, sauf qu'ils sont presque à poil. Ce qui peut aussi les rendre encore plus détestables. 

   J'ai remonté mon maillot de bain puis je me suis assis au bord du bassin, en regardant les maîtres-nageurs en face. J'appréhendais le fait qu'ils me voient nager comme un incapable, qu'ils se marrent entre eux. Ou pire, qu'ils s'imaginent que je me noie et qu'ils déboulent tous en courant. L'un des deux était une femme blonde, les cheveux attachés avec un t-shirt rouge accompagné du logo de la piscine. Antipathique, comme prévu. Elle regardait sans regarder. En fait, je crois que le simple fait d'être assise au dessus de tout le monde la satisfaisait, elle avait postulé pour ça. 

   A coté d'elle, un homme chauve et barbu aux sourcils froncés. Lui avait d'avantage l'air concentré, il guettait le moindre problème qui pouvait survenir dans les bassins. Il faisait parfois des signes de main incompréhensibles en direction des gens, mais cela semblait fonctionner. Ils se calmaient tout de suite. Son t-shirt rouge lui moulait le corps, il avait l'air musclé bien que légèrement enrobé. Il portait un slip de bain qui lui faisait un bulge assez conséquent. Il se voyait bien puis-ce qu'il était assis les cuisses écartées. De grosses cuisses aux poils foncés, d'ailleurs. J'en ai marre de sexualiser tous les mecs en permanence, mais c'est plus fort que moi.

   Alors j'ai commencé à nager, tête sous l'eau. Il y avait un bout de chemin pour arriver de l'autre côté, mais j'ai tout de même réussi ma première longueur. Par contre, c'était beaucoup plus compliqué que je ne l'avais imaginé. Mon corps me faisait déjà mal. Quoiqu'il en soit, le maître-nageur barbu me regardait et je ne pouvais pas avoir l'air d'une victime, alors j'ai fait ma deuxième longueur. Arrivé à la moitié du parcours, je n'avais plus de force. Je n'avais plus d'air. Je devais sortir la tête de l'eau, respirer, mais ça me faisait couler. Je commençais à paniquer, mon slip de bain commençait à se barrer. Je n'aurais jamais du venir. J'étais littéralement en train de me noyer, pour de vrai. Puis j'ai senti une main passer entre mes jambes et me soulever par le bas ventre. C'était le barbu.

   Il venait de me sortir la tête de l'eau en soulevant mon corps d'une main contre mon abdomen, son poignet appuyant sur ma queue. Heureusement que je ne bandais pas. Il me semble que ce n'était pas le moyen le plus simple et le plus réglementaire pour sauver quelqu'un de la noyade, mais l'essentiel c'était que j'étais hors de danger. Je toussais un peu, alors il m'a plaqué contre lui, comme un câlin, en me tapotant le dos et en me parlant d'une voix très grave. Ça va aller, monsieur. Vous avez juste bu la tasse. Ça arrive à tout le monde. Il avait retiré son t-shirt avant de sauter dans l'eau, je sentais donc son torse poilu contre le mien. J'avais envie de faire semblant de tousser d'avantage pour rester contre lui, mais il l'aurait sans doute remarqué.

   Vous n'avez pas l'air de savoir nager correctement, pourquoi vous n'avez pas demandé un cours ? C'est moi qui les dispense, ça aurait été un plaisir. Je lui ai expliqué que c'était un peu cher, 35 euros la demi heure. Et que des tas de gens apprennent seuls. Il m'a sourit. Bon, je suis gentil, alors je peux vous apprendre maintenant. Ma collègue surveille les nageurs. Allez y, nagez. Je pose ma main juste là, vous n'avez rien à craindre. Il venait en effet de poser sa main contre mon ventre, pour m'empêcher de couler. Il m'a montré les gestes de nage, ceux des bras, puis ceux des jambes. Quand est-ce qu'il fallait respirer, etc....

   J'ai donc réussi à nager jusqu'à l'autre bout sans trop de difficulté alors que je sentais sa main forte sous mon corps, je me sentais en sécurité. Pour le chemin inverse, il a décidé de laisser sa main sous mon ventre mais sans forcément me toucher, juste au cas où. Je suis quand même parvenu à faire la deuxième longueur sans couler. Il m'avait bien expliqué, alors j'ai réussi. Pour la prochaine, je retire ma main, mais je vais vous pousser. 

   J'étais prêt à me lancer, et il a commencé à me pousser. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me pousse de cette façon, la main sur mes fesses, le pouce qui passe en dessous, pile sur mon trou, mais je n'ai rien dit. C'était... agréable et excitant. Je nageais donc, et je sentais sa main me pousser, son pouce qui appuyait. Je le sentais presque rentrer un peu. Je commençais même à bander légèrement, et ça me dérangeait particulièrement puis-ce que j'étais entouré de familles et d'enfants. J'ai donc demandé à m'absenter un court instant dans les toilettes sous prétexte d'avoir envie de pisser. Je voulais juste attendre de débander avant de revenir. Oh, d'accord. Eh bien allez y. Je n'ai rien fait de mal, j’espère ? Je lui ai dit que pas du tout, au contraire. Je savais pratiquement nager comme un pro, grâce à lui. Mais je ne savais pas où se trouvaient les toilettes. Je vous accompagne, il y a des cabines de toilettes individuelles. Suivez moi. 

   Je l'ai donc suivi dans les couloirs, passant devant les vestiaires où des gens prenaient leur douche. Il marchait devant moi, torse nu, en slip. Il avait un cul bombé, musclé. Un cul de nageur qui dansait à chacun de ses pas. Des poils dépassait de son slip. On était arrivé devant une cabine, et il m'a invité à entrer. Il m'a regardé et a tout de suite vu mon érection. Ah, je comprend pourquoi vous avez voulu venir ici. C'est mon doigt qui vous a fait cet effet là ? Que répondre... J'ai juste souri timidement. Il a regardé à droite, puis à gauche, puis est entré dans la cabine de WC avec moi. Dès que je vous ai vu entrer dans l'eau, j'ai vu ce cul... Je suis désolé de dire ça, mais j’espérais avoir besoin de venir vous aider. C'est pour ça que j'ai été si rapide. 

   Il a posé sa main une nouvelle fois sur mes fesses, faisait mine de rentrer un doigt à travers mon slip de bain. Je bandais définitivement comme un cheval, et je voyais son slip à lui qui avait aussi pas mal grossi. Je l'ai touché et j'ai senti sa grosse queue, dure, plaquée sur le côté. Je voyais même la forme de son gland gonflé que je me suis empressé de caresser. Lache toi... Je suis là pour t'apprendre. Ça y est, il me tutoyait. Il m'a pris la tête pour la coller contre son téton droit, pour que je lèche et le suce. Je sentais ses poils dans ma bouche avec un léger goût de chlore, mais je continuais. Je le bouffais passionnément. Il a appuyé sur ma tête pour la faire descendre jusqu'à sa queue, puis l'a collée presque de force contre elle. Son slip était encore un peu mouillé, alors je l'ai retiré en regardant son gros dard se déballer devant moi. Sa bite était très poilue, comme le reste de son corps. J'ai passé ma main derrière ses couilles pour sentir le poids, et j'ai gobé son sexe sans aucune vergogne. Parfois je m'arrêtais, je donnais des coups de langue sur son gland, puis je reprenais les vas et viens. Il avait l'air d'aimer, car il me tenait la tête en me baisant la bouche. Je la sentais taper au fond de ma gorge, je la sentais remplie. Je sentais aussi la forme de ses grosses veines passer mes lèvres.

   Il m'a poussé et m'a retourné, à genoux sur la cuvette des toilettes, dos à lui. Mon maillot de bain avait fini par tomber tout seul, ça faisait un moment que je ne l'avais pas remonté. Je l'ai entendu cracher, puis j'ai senti son gros pouce entrer en moi sans prévenir. J'ai lâché un petit "Ah !", puis je me suis rappelé que des tas de gens passaient devant la porte et pouvaient venir utiliser les toilettes d'à côté. Il fallait que je reste silencieux. Alors je l'ai laissé me doigter, en regardant derrière moi. Je le voyais se branler en regardant mon cul avec excitation, un doigt à l'intérieur. Je l'ai vu ensuite cracher sur sa queue, étaler sa salive tout autour puis s'avancer vers moi. Il a poussé son gland contre mon trou puis est rentré petit à petit. J'avais envie de gémir, de crier, mais il avait mis sa main contre ma bouche pour empêcher tout son d'en sortir. J'étais en train de me faire éclater le cul par un maître-nageur. 

   Quelqu'un est entré dans la cabine d'a côté, alors il a ralenti le rythme pour me baiser doucement, calmement. Ça glissait tout seul. On entendait l'autre pisser à coté, renifler. Il ne fallait pas nous faire repérer. Une fois qu'il était sorti, il s'est remis à me baiser de plus belle. C'était trop bon. Je vais te remplir, maintenant. Je dois aller surveiller les nageurs. Je l'ai remercié de le faire. J'avais tant envie. Je l'ai même aidé à jouir en bougeant mes fesses contre lui pour donner du rythme. Je sentais ses mains s'agripper à mes hanches comme un jouet, puis il s'est arrêté. Il a remis une main contre ma bouche puis se vidait en gros jets dans mon cul. Tu le sens, mon jus en toi ? Je ne pouvais rien dire à cause de sa main, mais je me sentais rempli. Il s'est retiré, m'a donné une fessée puis m'a salué. A la prochaine, Mister. Si tu as besoin d'autres leçons, je te ferai un prix. 

   Il m'a laissé dans les toilettes, le slip baissé, son jus chaud qui coulait le long de mes jambes. J'avais toujours trouvé les employés des piscines antipathiques. Mais lui, il m'avait fait aimer la natation. Aujourd'hui, je pense avoir trouvé mon nouveau sport favori.


Mojo l'Embrouille