dimanche 29 septembre 2019

[+18] MON PSY UN PEU SPÉCIAL

Ce récit est véridique, il m'a été raconté par quelqu'un en qui j'ai confiance. Ce n'est pas une fiction, mais quelques détails ont pu être modifiés pour protéger l'anonymat des protagonistes.


   C'était il y a un bout de temps, environ dix ans. Je bossais dans un centre de formation qui accueillait un grand nombre de personnes de tout âge. On y faisait tout un tas de choses. Moi, ma fonction, c'était de m'occuper de plusieurs groupes de très jeunes gens, parfois adolescents. J'aimais beaucoup mon travail, ce n'était pas le problème, mais je commençais à être exténué. Les vacances approchaient, mais elles étaient encore trop lointaines. Après réflexion, j'ai eu l'idée de simuler un genre de burn-out ou une fatigue intense. Ça fonctionne bien, ça, pour les gens qui bossent dans l'éducation et la formation. Si je parvenais à obtenir un arrêt d'une semaine ou deux, ça prolongerait mes vacances et je pourrais en profiter plus tôt que prévu. Mais qui aller voir pour ça ? Un médecin ? Mon généraliste ? Pas très compréhensifs pour tout ce qui touche au psychisme. Un ami dans la confidence m'a conseillé d'aller voir un psychiatre. Je n'en connaissais aucun, j'ai du me renseigner un peu, et j'ai fini par en dénicher un à deux pas de chez moi. Monsieur Travers, ça annonçait que du bon. J'ai donc pris rendez-vous.

   Le jour J, j'appuie sur la sonnette du cabinet du psychiatre. La porte s'ouvre sur une salle d'attente, heureusement complètement déserte. Je n'ai pas eu à attendre longtemps avant qu'une seconde porte s'ouvre et qu'un jeune homme s'approche de moi, tendant la main. Serrer une main, ça prend peut-être une seconde, mais une seconde suffit pour savoir si quelqu'un nous plait physiquement. Et cet homme était très mignon. Petite barbe de trois jours, cheveux noirs lisses dont une mèche retombait sur son front. Des yeux sombres qui ne brillaient pas, assez intimidants. Un visage symétrique, vraiment agréable à scruter. Sa main n'était pas moite, ni sèche, mais il avait une sacrée poigne. J'ai gardé une main douloureuse pendant les quelques secondes qui ont suivi mais l'idée de devoir révéler des choses intimes à un mec aussi charmant me décontenançait légèrement, assez pour ne plus y penser.

   Il m'a fait rentrer dans son bureau, une pièce spacieuse, très boisée. Le bois du bureau devait être de bonne qualité, lisse, brillant et entretenu. Les murs aussi, et le parquet étaient en bois. Ça sentait l'ancienne demeure, mais pas de façon désagréable. Il y avait aussi une table de massage en cuir. D'un signe de main, il m'a invité à m'allonger sur le canapé en velours, face à son fauteuil. C'était très confortable, mais je n'étais pas là pour dormir. Allongé, je gardais la tête tournée vers lui. Je le regardais. Vraiment charmant. Il me regardait aussi, sans un mot. 

   Les questions ont débuté, il m'a demandé pourquoi j'étais venu le voir, qu'est-ce qui m'amenait. Je lui ai expliqué toute l'histoire que j'avais préparée dans ma tête, essayant de ne pas omettre de détails et en évitant les lapsus qui pouvaient me trahir. Faire semblant devant un spécialiste, c'est plutôt anxiogène. Il m'a demandé de parler un peu de moi, de ce que j'aimais dans la vie, mes habitudes. Je lui ai parlé de mon amour pour la guitare et le camping, de mon ex-copain qui m'avait fait beaucoup de mal et de ma convalescence suite à cette sale histoire. Vous êtes gay ? J'ai répondu par l'affirmative, sans crainte. Et puis je voulais voir sa réaction, à ce beau mec. Vous êtes certain ? Vous avez déjà couché avec une femme, au moins, pour affirmer être gay ? Il faut tester. Je lui ai demandé s'il posait cette question à l'inverse lorsqu'il avait un patient hétérosexuel, il n'a rien répondu. Lorsque vous voyez un homme, vous avez une érection ? Je ne voyais pas le rapport avec la raison de ma venue, mais la conversation était assez excitante, je répondais à ses questions. Je disais que oui, les mecs me faisaient bander, et pas les femmes. Que je pouvais apprécier leur beauté, leurs seins, leurs fesses, les trouver esthétiques sans ressentir une once de stimulation ou de désir sexuel.

   Il a froncé les sourcils. Vous avez raison, vous êtes stressé. C'est surement votre boulot. Je vais vous proposer un exercice de détente, ça vous dit ? Cela pourrait vous aider aussi dans votre vie en général. Je me laissais faire. Si je vous demandais de vous masturber devant moi, vous le feriez ? J'ai longuement hésité, avec des euuuh et des mmmmh, et j'ai dis oui. Oui, je le ferais. Est-ce que vous le feriez si j'étais une psychologue, une femme plutôt qu'un homme ? Inutile de réfléchir, je lui ai dis que non. Impossible. Il a hoché la tête, comme s'il avait compris quelque chose, et m'a demandé de fermer les yeux et de sortir mon pénis, de me masturber devant lui, qu'il allait regarder si tout se passait bien. J'ai donc fermé les yeux, je ne voyais plus rien. Et j'ai sorti ma queue, je ne bandais pas. Je me masturbais, et même si je ne voyais rien, le noir complet, je savais qu'il regardait. Et c'était un peu trop gênant pour avoir une érection. 

   Je l'ai entendu se lever du fauteuil grinçant, puis s'approcher de moi. Il a saisit mon sexe et j'ai senti quelque chose de froid et de visqueux qu'il était en train d'appliquer dessus, un genre de lubrifiant. Le froid est vite devenu chaud, et mon psy était en train de me branler. Là, je bandais sans problème. Ma bite qui était petite et flasque a triplé de volume pour devenir longue, large et pointer vers le plafond. Il faisait ça bien. Je gardais les yeux fermés, comme il me l'avait dit, tandis que sa main glissait de haut en bas sur ma queue. J'aurais tant aimé le voir, le regarder, observer son beau visage qui regardait sa propre main sur mon sexe. Mais je ne voulais pas qu'il arrête, je respectais les règles. 

   Il s'est mit à frotter légèrement mon gland contre sa petite barbe, ce qui m'a valu quelques sursauts de plaisir, puis sur ses lèvres. Il ne m'a pas sucé, mais je sentais mon gland contre sa bouche alors qu'il continuait de me masturber. C'était trop, j'allais tout lâcher. Je lui ai dis que dans trois secondes j'allais jouir, mais il a continué. Aaaah ! C'était trop bon. J'ai gardé les yeux fermés, mais je savais que je venais de recouvrir sa belle gueule de tout mon sperme. Il devait en avoir dans sa barbe, sur ses paupières, sur ses lèvres, dans ses beaux cheveux épais. 

   Lorsque j'ai ouvert les yeux, il était parti s'essuyer le visage derrière son bureau à l'aide de plusieurs mouchoirs. Des mouchoirs se trouvant dans une boite en carton, posée sur le bureau, normalement prévue pour les patients qui pleurent lors des consultations. S'ils savaient.

   Il m'a regardé une nouvelle fois, l'air préoccupé. Je sens que nous n'avons pas tout a fait réglé le problème. Allez vous allonger sur le ventre, sur la table. Je venais de jouir, mais son petit jeu me plaisait beaucoup. Il faisait comme si tout était normal, restait très professionnel. J'en venais à douter que ça puisse être normal pour un psychiatre de branler ses patients tellement il gardait un air sérieux. Je suis allé m'allonger sur le ventre, sur sa table de massage. Il m'a demandé de retirer mon t-shirt pour me faire un massage thérapeutique. Bien détendu, ses mains parcouraient mon dos en me faisant beaucoup de bien. C'était très agréable. Au fur et à mesure que ses mains massaient le haut de mon dos, il faisait le tour de la table. Il était maintenant debout, devant ma tête qui était à hauteur de sa braguette. Il était si proche que je sentais le fer froid de sa fermeture de pantalon contre mes lèvres. Je me suis dit qu'il faisait exprès de se coller contre mon visage. Alors qu'il me massait toujours aussi bien, sa queue manifestement toute dure frottait contre mon nez et contre ma bouche à travers son pantalon. 

   J'ai décidé de prendre l'initiative de l'ouvrir, il n'a pas réagit et a continué son massage. Sans pour autant baisser son pantalon, je suis parvenu à sortir son sexe hors de son caleçon. Il était de taille moyenne, mais très joli et bien épais. Par contre, ses couilles étaient grosses et lourdes. J'ai pu les peser entre mes doigts quand je les ai sorties du caleçon. Elles pendaient dorénavant dans le vide. Elles se balançaient au rythme des mouvements qu'il faisait avec ses mains sur mon dos, parfois tapaient très légèrement contre ma bouche. J'avais envie de les lécher, alors je les ai prises dans une main pour les gober une à une, à tour de rôle. C'était délicieux. Ce beau gosse avait des grosses burnes très appétissantes. Une couille dans la bouche, je regardais son bureau, à coté. Il y avait une photo de lui qui posait avec une femme et deux beaux enfants. Décidément.

   Alors que je continuais de lui gober les burnes, il faisait enfler sa bite en la contractant, ce qui la faisait rebondir sur mon front. Il avait envie que je le pompe, ce malin. Ni une, ni deux, j'ai complètement avalé son chibre de psy. Il avait l'air très excité, je sentais déjà un peu de sperme sortir de sa queue. En bon père de famille avec une femme, il ne devait pas souvent goûter au plaisir de se faire pomper par un homme. Je le branlais littéralement avec le fond de ma gorge, ça me faisait même tousser parfois. Il gémissait. Je savais très bien ressentir lorsque je le suçait particulièrement bien, car il se mettait à me masser avec plus d’énergie. 

   Sans crier gare, il s'est enfoncé dans ma bouche et à déchargé tout son jus au fond de ma gorge. Je ne pouvais que tout avaler. J'ai continué à le sucer doucement pour nettoyer son dard de toute trace de sperme, puis il s'est rhabillé. Le massage était terminé. La, vous êtes bien détendu. Je le vois. 

   Il m'a invité à m'asseoir face à lui, autour de son bureau, puis m'a donné mon ordonnance avec mon arrêt de travail, pendant que je remettais mon t-shirt. Tout paraissait surréaliste. Il venait de me branler jusqu'au jus, s'est vidé dans ma gorge, et la consultation s'est terminée comme avec n'importe quel autre patient. Il s'est levé, puis m'a raccompagné vers la sortie en souriant, me serrant la main. A bientôt, monsieur, reposez vous !

   J'ai bien tenté de reprendre un rendez-vous, j'avais encore beaucoup de problèmes psychologiques à résoudre avec lui. Mais il était parti en congés longue durée. Je ne l'ai plus jamais revu ensuite, et maintenant je suis, chaque fois, un peu déçu lorsque je vais chez un psy sans que ses couilles ne se retrouvent dans ma bouche.


Mojo l'Embrouille.
 

2 commentaires:

  1. j'ai adoré ton récit. Je me suis caressé mais je n'ai pas pu résister d'appeler un ami black pour éteindre le feu qui n'a cessé de monter en moi. @JamalleJamile

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