lundi 30 septembre 2019

[+18] SI MON GRAND FRÈRE SAVAIT

Tous les récits publiés sur ce blog sont de pures fictions. S'il s'avère qu'un récit est tiré d'une histoire vraie, ce sera précisé en haut de page. Les propos tenus par les protagonistes, leurs opinions, leur rôles et leurs idées ne représentent en rien les miens et ne reflètent que ceux d'un personnage imaginaire.




   J'ai un problème, et je crois que maintenant, je suis vraiment dans une merde noire. Tout est sur le point d'imploser. Je vais essayer de résumer la situation. J'ai 18 ans et j'ai un grand frère de 24 ans, qui s'appelle Victor. Depuis notre naissance, on a vécu et grandit chez notre maman, dans le sud de la France. Malgré nos six ans d'écart, on s'est toujours bien entendu. Je ne dirais pas qu'on était les meilleurs amis du monde, mais on a fait les quatre cents coups. Les conneries, on les a toutes faites. Ah, ça, ma mère elle s'en rappellera. Notre père, on ne l'a jamais connu. On l'a peut-être croisé, sans le savoir, mais ma mère n'a jamais voulu nous parler de lui. En tout cas, il n'a absolument rien a voir dans l'histoire.

   J'ai la chance d'avoir une mère tolérante, et ouverte d'esprit. Elle ne nous a jamais jugés, mon frère et moi. Depuis notre naissance, on a toujours pu être nous même, faire nos choix, sans jugement de sa part. J'estime qu'on a eu beaucoup de chance, c'est un privilège quand on voit ceux qui n'ont pas pu s'épanouir à cause de leurs parents. J'ai toujours été un peu dans l'ombre de mon grand frère. Il est l’aîné et, de ce fait, il a toujours été mit en avant. Je ne lui en veux pas, ce n'est pas de sa faute. Il est plus grand que moi, plus beau que moi, tout plus que moi. On dit parfois que le cadet est la version améliorée des aînés, ici ça ne fonctionne pas comme ça.

   Il y a cinq ans, il a fait son coming-out à ma mère. Il avait 19 ans, mais moi j'en avais 13. Elle a tout de suite accepté qu'il soit gay, et il a fait des tas de rencontres depuis. Des ex, il en avait au moins cinq. Le soucis, qui n'en est pas vraiment un, c'est que je suis gay aussi. Je m'en suis rendu compte lorsque j'avais 15 ans et que je suis tombé amoureux d'un garçon de ma classe. Mais comme mon frère avait déjà fait son propre coming-out, je n'ai jamais osé faire le mien. Non pas que j'avais du mal à l'assumer, mais j'ai toujours pensé qu'ils se mettraient à croire que je copie sur lui, que ça serait quand même une trop grosse coïncidence pour être crédible. Pourtant, ça n'a rien avoir avec lui, les mecs me font beaucoup d'effet. Mais j'avais beaucoup trop peur de paraître ridicule à coté de lui.

   Il a beaucoup de succès, comparé à moi. On a maintenant 18 et 24 ans et il enchaîne les plans culs tandis que moi je suis encore puceau. Il ramène souvent des "amis" à la maison, qui ne reviennent jamais. Ma chambre est à coté de la sienne, alors je les entend baiser chaque fois. A force, je reconnais les gémissements de mon frère, ça me fout un peu mal à l'aise. Je me demandais comment il faisait pour choper si facilement, c'était quoi sa technique ? Mais impossible de lui demander, ça pourrait me trahir et il aurait compris que j'étais gay, comme lui. Alors je cherchais une solution, un plan intelligent pour découvrir comment il s'y prenait. Puis un jour, j'ai trouvé. Le seul moyen que j'avais trouvé, malheureusement, c'était de me créer un faux compte, avec une fausse photo sur Grindr, regarder s'il y était, et lui envoyer un message. Là, je verrais son approche, comment il fait. Je vais m'installer dans ma chambre, je ferme la porte à clé et m'allonge sur mon lit. J'entend mon frère qui écoute de la musique de l'autre coté du mur, il est peut-être connecté. Je me créé alors un compte, je met une photo d'un gars mignon trouvée sur internet en photo de profil et j'ajoute une description : Mec très chaud, très envie d'un plan sexe.

   La grille des profils s'affiche, beaucoup d'hommes que je n'ai jamais croisés. Ou alors je n'avais pas fait attention. Je touche la photo de celui qui est le plus proche de moi. Seulement quelques mètres, dernière connexion il y a 2 heures. Aucune photo de son visage, seulement deux de son torse. Un torse imberbe, svelte, bien taillé. Pas musclé mais tout de même bien dessiné. On voit que c'est un corps de jeune. Ça pourrait correspondre avec mon frère, mais je ne suis pas certain. Je ne l'ai vu torse nu qu'à quelques reprises, en allant à la piscine, mais j'étais trop jeune pour bien m'en souvenir. Pas de pseudo, juste une description qui disait : Actif TBM pour plan ou plus. J'envoie un Salut, et patiente en allant faire un tour sur mon insta et sur twitter. Puis une dizaine de minutes plus tard, je reçois une notification de Grindr. Je l'ouvre, c'est un message, mais pas de lui. Un homme de 40 ans, plutôt charmant, mais je ne suis pas connecté pour réellement rencontrer quelqu'un. Je ne répondrais pas. Je retourne à mes occupations sur les réseaux, quand une seconde notification fait vibrer mon téléphone. Je l'ouvre, et c'était le profil auquel j'avais envoyé un message.

   Il me dit salut, qu'il me trouve très sexy. Je le remercie et lui demande une photo de son visage. Je l'ouvre, et c'était lui. C'était mon grand frère. Mon rythme cardiaque s'est accéléré. Ce que je faisais était interdit. Mais je devais savoir. Je lui dis que lui aussi est mignon, il me demande si je reçois ou si je me déplace. Ça va vite. Je pensais qu'il allait essayer de me séduire, me convaincre de le rejoindre. Je ne sais pas quoi dire... Je ne peux pas le recevoir, j'habite chez lui. Et je ne peux pas me déplacer, il vit chez moi. Je lui dis que ni l'un ni l'autre, mon truc, c'est les plans extérieurs, même si j'en ai jamais fait. Il me dit que ça pourrait se faire et m'envoie directement des photos de sa queue en érection. J'ai directement fermé l'application sans les regarder. Qu'est-ce que je faisais ? C'était du délire. Mon grand frère venait de m'envoyer des photos de sa queue, je n'étais vraiment pas censé voir ça.

    Je pose donc mon téléphone à coté de mon oreiller et j'attend. Je regarde le plafond. J'était un peu perdu, là. Si j'arrêtais là, je ne saurais pas comment on réussi à faire un plan cul. Si je continuais, j'allais voir sa queue. Je n'étais pas une petite nature, et puis de toute façon, au point ou j'en étais. Je rouvre Grindr et voit ses photos. Une grosse queue, il ne mentait pas. Il était très bien monté. Je comprend maintenant, montrer sa queue valait tous les arguments du monde pour pouvoir coucher. Il pouvait se passer de phrases d'accroches. Mais quelque chose me dérangeait profondément. Un malaise. J'étais en train de bander à fond devant les photos de mon frère et je ne le voulais pas. J'essayais d'arrêter ça, de me concentrer sur autre chose, mais chaque fois que je reposais le regard sur la conversation je voyais sa grosse queue et ses grosses couilles et je bandais encore plus fort. Je ne me contrôlais plus. Putain, c'était mon grand frère, qu'est-ce que je fou. On m'a déjà dit que pour arrêter de bander, il faut serrer le poing. Ça canalise le sang ailleurs que dans la queue. Mais ça ne fonctionnait pas, j'étais surexcité.

   Il me demande mon pseudo snap pour m'ajouter et pouvoir parler plus facilement. J'en créé donc un en vitesse puis lui donne. Il m'ajoute rapidement et notre conversation commence, il me demande de lui envoyer une photo de ma bite. Là je bloque. Si je fais ça, je ne pourrais plus revenir en arrière. Pour toujours et jusqu’à la fin des temps, j'aurais échangé des nudes avec mon grand frère, et il se sera sans doute branlé dessus, j'aurais bandé sur les siens. Je continuais à hésiter et lui se montrait impatient. Si impatient qu'il m'a finalement demandé une conversation vidéo pour se montrer l'un l'autre nos queues. Je devais faire un choix, accepter ou refuser. Il attendait. Ma réponse allait déterminer la suite de mon plan. Sa réussite ou son échec. J'ai donc sorti ma queue gonflée de mon boxer et pointé la caméra dessus, puis j'ai accepté son appel. Ça y est, mon frère voyait ma bite en érection. Je voyais la sienne. Il commence à se branler doucement puis écrit qu'il adore ma queue. Il veut voir ma bouche. Il me dit que je peux ne pas montrer mon visage, il l'a déjà vu, mais qu'il veut se branler en regardant mes lèvres entrouvertes sur lesquelles je passerais ma langue. Vu où j'en étais, ça me paraissait soft. Alors je pointe la caméra sur ma bouche et me lèche doucement les lèvres, donne des coups de langues. Il ne cachait même pas son visage, lui. Je le voyais entièrement en train de se masturber sur ma bouche. C'était interdit, mais je bandais si fort que je me suis masturbé aussi en le regardant. Il me demande de filmer mon cul, qu'il a envie de voir le trou qu'il allait défoncer bientôt. Je ne reflechissais plus. Je baisse la caméra, écarte les jambes et filme mon anus tout en prenant soin de bien cacher mon visage. Il se branlait frénétiquement sur mon cul. Mon propre frangin. Celui avec qui j'avais grandis. Sans savoir que c'était moi à l'autre bout du téléphone, que c'était le cul de son petit frère. 

   Il a commencé à gémir puis à éjaculé sur son torse en cinq longs jets puissants, accompagnés de spasmes. Il était recouvert de sperme. Il en avait même sur les lèvres qu'il s'est empressé de lécher pour les nettoyer. Le fait d'assister à ça m'a fait jouir aussi, j'en avais foutu partout. Sur moi, sur mon lit, sur mon téléphone. Il me dit qu'il avait adoré ce qu'il avait vu et qu'il voulait me voir en vrai, à l’extérieur. Il me propose même une rencontre dans un sexclub, où il y a des glory-hole. Comme ça, tu pourras me pomper à fond. J'adore ça, me faire pomper par des inconnus sans les voir, à travers un trou. Je lui dis que je ne sais pas. Je n'ai jamais fais ça dans un sexclub. Il me répond. J'arrive avant toi, vingt minutes avant, je me met derrière le mur, puis quand tu arriveras je te ne verrais pas. Je ferais passer un mouchoir à travers le trou avec ma main, tu ne verras que ça. Moi, je ne verrais rien. T'es chaud ou pas ? J'avais perdu mes moyens, je ne savais pas quoi lui dire. Je lui demande quand est-ce qu'il veut faire ça, il me propose le soir même, après manger. Je répond qu'on le fera peut-être, pour ne pas rompre la conversation. Ça sentait les crêpes, ma mère venait d'en préparer. Quelqu'un toque à la porte de ma chambre, c'est mon grand frère. Je m'empresse d'essuyer tout le sperme que j'ai mis sur moi et sur mon lit, me rhabille et lui ouvre. Tellement bizarre de le voir après ça. Surtout en sachant que lui ignorait tout. Il s'était habillé, mais je pouvais encore le voir à poil dans ma tête. Je connaissais son corps maintenant. Il me dit que le dîner est prêt, et on descend. 

   A table, on ne parle pas trop. On entend surtout le bruit des fourchettes et de la télé en fond. Mon frère a l'air de sortir de la salle de sport, il a transpiré. Je sais pourquoi, mais je préfère ne pas y penser et manger ma crêpe. Il s'est raclé la gorge comme pour se préparer à faire une annonce. Maman, après manger je sors. Je vais voir un ami en ville. Elle lui a répondu d'accord, mais de ne pas rentrer trop tard, qu'elle puisse dormir correctement. Quand elle se réveillait la nuit, impossible de se rendormir. En fait, il n'avait pas attendu ma réponse. Il avait déjà prévu d'y aller, dans ce sexclub. Et moi, j'avais furieusement envie de sucer une bite. Et celle de mon grand frère m'avait foutu dans tous mes états. J'avais peur qu'elle soit trop grosse pour une première fois, mais en même temps... 

   De retour dans ma chambre, il m’envoie un message. Alors ? Tu me rejoins ? Je répond oui. C'était décidé, j'y allais. J'allais pas reculer maintenant. Cette histoire n'avait rien de morale, c'était même ignoble. Se rendre à un plan cul avec son grand frère, sans même qu'il sache qui j'étais réellement, c'est le genre de truc qu'on ne raconte à personne. Mais je n'avais plus de libre arbitre. Je devais y aller. J'étais complètement guidé par ma bite, sur ce coup. Il m'envoie l'adresse et je l'entend partir de sa chambre, fermer sa porte, puis quitter la maison. Vingt minutes. C'était le temps que je devais attendre pour être sûr qu'il ne me voit pas. Le temps passait trop vite. Chaque fois que je regardais l'heure sur mon téléphone, 5 minutes avaient passé. Il était temps. J'ai mis une veste, prévenu ma mère, et je suis sorti. 

   J'arrive devant le sexclub. Un bâtiment sombre avec des mots en néons rouges qui clignotent. Pas discret. Mais personne devant. Mon frère devait surement être déjà derrière un glory hole. Je m'aventure à l'intérieur, paie mon entrée, puis explore le cruising. Il y avait de la musique forte, de l'electro qui donnait envie de danser. Sur le mur, deux flèches. Une pour la salle de projection, l'autre pour les glory hole. Mon coeur battait la chamade tandis que j'avançais vers plusieurs cabines, chacune contenant un mur avec un trou. Derrière chaque trou, un mec pouvait se trouver de l'autre coté, faisait dépasser sa queue, attendant une bonne âme pour lui vider les couilles. J'ouvre la première, personne. La deuxième, une bite qui dépasse. Mais elle ne ressemblait pas à la bite de mon grand frère, et je ne voyais pas le mouchoir. J'ouvre la troisième, c'était la bonne. Une grosse queue, qui ne bandait pas, mais qui était très plaisante à voir même molle. Une main faisait passer un mouchoir à travers le trou. J'entre et ferme la porte derrière moi grâce au verrou. Pas envie qu'on vienne me mater en train de pomper mon frère, c'était déjà assez gênant pour moi. Je me retrouve alors dans un espace sombre, aux murs noirs, avec pour seul aperçu de l’extérieur un trou dans le mur d'où une queue dépassait. Et pas n'importe laquelle. La queue de mon grand frère. 

   Je me met à genoux, puis approche ma bouche de son gland. Je ne la suce pas tout de suite, je la sens. Je la parcours du bout de mon nez, je la touche. Je pose ma langue sur son gland décalotté, j'y vais doucement. Je lèche ses couilles rasées, il se met à bander petit à petit. C'est fou l'effet que je faisais à mon propre frère. J'avais finalement peut-être pas besoin de lui pour pécho un mec. J'ouvre grand la bouche et englobe son gland avec. Je le pompe jusqu’à son pubis, puis je reviens. Et je répète le mouvement, encore, et encore, et encore. Elle était très dure, maintenant. C'était officiel. J'avais la queue de mon frère au fond de la gorge. Et il en savait absolument rien. Elle était douce, juteuse, je continuais à pomper. En la tenant à sa base de ma main droite, je variais l'inclinaison de ma bouche pour varier ses sensations. J'avais l'impression d'être une salope, mais j'avais aussi l'impression d'être fait pour ça. Tout en accueillant le bout de sa queue au fond de ma gorge, je lui massais les couilles. Derrière le mur, il donnait des coups dans ma bouche. Je n'avais plus besoin de bouger, il faisait le travail. J'avais l'impression qu'il me baisait la bouche au rythme de la musique du sexclub, comme s'il dansait en moi.

   Je bandais si fort que ma bite allait exploser. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je me suis levé et j'ai collé mon cul contre le trou du glory hole. Je voulais voir jusqu'où ça pouvait aller. Sa bite ne dépassait plus, il avait reculé. Je ne savais pas si c'était parce qu'il ne voulait pas me baiser, ou s'il avait un autre problème. Mais non. Je l'ai entendu cracher, surement sur sa queue, et il m'a transpercé d'un coup sec à travers le mur. Elle était si grosse. Trop grosse. J'étais vierge il y a une seconde, et maintenant mon frère était en train de me dilater entièrement. Il a l'air de s'éclater en moi, ses coups sont si forts que le mur tremble. J'ai l'impression, à chacun de ses coups de bite, que mon corps subit un traumatisme. Ça faisait mal au début, mais je ne voulais plus qu'il arrête maintenant. C'était trop bon. Je gémissais comme un puceau, sans me soucier du risque que je prenais qu'il reconnaisse ma voix. Je m'en foutais. Le cul, ça rend con et insouciant. Il me ramonait comme un pro, il devait avoir l'habitude. Il s'était entraîné toutes ses années pour finir dans le cul de son frère.

   Je l'ai entendu crier, puis il s'est déchargé en moi. Il n'avait même pas mis de capote. Je l'ai senti se retirer puis je me suis redressé. Son sperme coulait le long de mes jambes. Mais maintenant, quand est-ce que je suis censé sortir de là ? On ne s'était rien dit là dessus. Je décide de sortir tout de suite, rapidement, avant qu'il ne sorte aussi. Je me rhabille, sors de la cabine, me dirige vers l'entrée et sors aussi vite que possible du bâtiment.

   De retour à la maison, je m'enferme dans ma chambre. Le cul encore rempli du jus de mon grand frère. Un quart d'heure après, c'était son tour. Je l'entend entrer dans sa chambre puis s'allonger dans son lit grinçant. C'est à ce moment que j'ai pris mon téléphone pour vous écrire tout ça. Est-ce qu'il m'a vu ? J'en sais rien. Est-ce qu'il a compris ? Aucune idée. Je suis dans la merde... Si mon grand frère savait...


Mojo l'Embrouille.

   

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