samedi 5 octobre 2019

[+18] UN PETIT FIFA ENTRE POTES

Tous les récits publiés sur ce blog sont de pures fictions. S'il s'avère qu'un récit est tiré d'une histoire vraie, ce sera précisé en haut de page. Les propos tenus par les protagonistes, leurs opinions, leur rôles et leurs idées ne représentent en rien les miens et ne reflètent que ceux d'un personnage imaginaire.


   On adorait se retrouver le samedi après-midi, avec mes potes de boulot, dans l'appart de Fabien. Fabien, c'était notre pilier. Il avait une grande confiance en lui, beaucoup d'assurance. On se sentait capable de tout quand il était à nos côtés. Il avait ce qu'on appelle des couilles et beaucoup d'influence sur les autres. Il avait une PS4, alors quand on allait passer la soirée chez lui, c’était obligé, on faisait un tournoi de FIFA. Enfin, c'est plutôt eux qui le faisaient. Moi, j'aimais pas y jouer. Je me suis toujours dit que c'était un jeu d'hétéro. J'aimais plutôt les RPG, les jeux d'aventures. FIFA, c'est vraiment le genre de jeu qui ne donne pas à réfléchir. C'est pour que les mecs puissent savoir qui a la plus grosse et qui pisse le plus loin.

   On était quatre au total, moi inclus. Il y avait donc Fabien, un petit brun barbu très mignon d'1m55 qu'on aimait bien charrier. Mehdi, un rebeu grand et sec qui était toujours à pieds nus, ça nous faisait rire au début mais on avait finit par s'y faire. Julien, un jeune noir musclé toujours en tenue moulante, très porté cul. Et puis moi, Damien, ni maigre ni gros, il parait que j'ai un beau cul, c'est à peu près tout ce qu'on dit de mon physique.

   Tout le monde était là, il était 17h. L'alcool remplissait la table, on était partis pour une soirée FIFA entre potes. Fabien servait les premiers verres, en demandant à chacun ce qu'il préférait boire entre une bière et un whisky. Je lui ai dis que je préférais un whisky, puis il me l'a versé en souriant. Ça parlait fort, ça riait fort, une bonne ambiance. Julien avait mit du rap, ils étaient à fond la dedans. Ça ne me dérangeait pas plus que ça, même si j'avais plutôt l'habitude d'écouter d'autres styles de musique. Ils ont allumé la console et lancé le jeu tandis que Mehdi et Fabien prenaient chacun leur manette. J'ai roulé un joint et je me suis avachi sur mon canapé, en les regardant jouer. Nous étions sur un grand et un petit canapé. Ils étaient deux sur le grand, face à la télé, et moi j'étais sur le petit avec Mehdi.

   On était tous en chaussettes, sauf Mehdi qui était pieds nus comme à son habitude. Fabien nous demandait tout le temps de retirer nos chaussures à l'entrée, il en avait plein le cul de nettoyer le sol après les soirées. On se marrait bien, parce que Fabien avait tendance à sentir fort des panards. Une raison de plus pour l'embêter. Mais bon, on avait pris l'habitude, maintenant.

   J'étais le seul gay de la soirée, ils étaient au courant. Du coup, ils passaient toujours leur temps à parler de meufs, de cul, de seins, de porno, et moi je ne pouvais faire qu'écouter. Les femmes, c'était un terrain qui m'était inconnu sexuellement. Le premier match qui opposait Mehdi et Fabien battait son plein, on les encourageait. J'en étais à mon second verre de whisky, et le monde commençait à ralentir lorsque je bougeais la tête de droite à gauche. C'était pour l'instant très léger. 

   Puis, vient le moment où ils abordent le sujet des gays. Ça survient une soirée sur trois, on en parle en rigolant, je me fais charrier, ils disent qu'ils n'ont rien contre eux pour me rassurer, puis on change de sujet. Sauf que cette fois Mehdi, qui avait déjà bu son troisième verre de whisky et commençait à être désinhibé, m'a posé une question qu'ils ne m'avaient jamais posée. Tu as déjà fantasmé sur nous, sur tes potes ?. La soirée s'était mise sur pause, ils étaient tous en train de me regarder, attendant ma réponse. Que dire ? Bien sur que je fantasmais sur eux. Mais je ne voulais pas gâcher notre amitié ou leur faire peur. Comme je ne répondais pas, Julien en a rajouté une couche. C'est sûr, il se branle en pensant à nous, vu comme on est beaux gosses. Rire général. Je lève les yeux en souriant, je ne le prenais pas mal. Déjà parce que c'était leur humour et aussi parce que c'était purement vrai. J'ai répondu qu'ils étaient tous beaux gosses, bien sûr, mais que je ne tenterais jamais une telle initiative car ce sont mes potes, et que je voulais pas foutre un malaise. Ils se sont regardés entre eux puis ont eu l'air satisfaits de ma réponse.

   Mehdi avait froid, il a pris le plaid qui était plié à coté du canapé pour le poser sur lui, en ramenant ses jambes afin que ses pieds nus soient au chaud, eux aussi. Il m'a demandé si j'en voulais un bout, si j'avais pas trop froid, et j'ai répondu que je voulais bien le partager. Parce qu'en effet, il faisait frais dans l'appart de Fabien. Mehdi s'en plaignait pas mal : Je vous jure les mecs, je me les gèle, y'a pas moyen de mettre du chauffage ou quoi ? Fabien disait qu'il était déjà mis, et que lui n'avait pas l'impression qu'il faisait froid. Alors Mehdi m'a regardé et m'a dit : Hé Damien, si tu me crois pas vas-y, touche mes pieds tu verras comment ils sont froids. Julien lui a rappelé qu'il ne portait pas de chaussettes, et que c'était le principe de ce vêtement, de ne pas avoir froid aux pieds. Il insistait quand même : Damien, touche les, tu vas voir.

   Il s'est allongé de moitié dans le canapé pour poser ses pieds sur mes jambes, attendant que je les touche. Personne n'avait l'air intrigué par la situation, ils regardaient tous le match et ne voyaient pas les pieds de Mehdi qui venaient de se poser sur moi : le plaid qui était sur nous deux cachait tout. J'ai donc posé mon joint dans le cendrier, puis je les ai pris dans mes mains, tâtés, et ils étaient en effet bien glacés. Je lui ai dis qu'ils étaient froids, c'est vrai, qu'il devrait mettre des chaussettes. Il m'a dit que mes mains étaient super chaudes comparées à ses pieds et que ça faisait du bien, que je devrais ne pas les enlever. Ça me faisait tout drôle. Je gardais ses pieds entre mes mains pour les réchauffer, il ne disait rien et continuait son match contre Fabien. J'avais envie de les masser, alors j'ai commencé à les caresser légèrement. Ses pieds ont eu un léger mouvement de recul, pour finalement revenir comme ils étaient. Alors j'ai continué à les masser doucement, il se laissait faire. Personne dans la pièce ne voyait ce que je faisais, je lui faisais ça sous la couverture. Je passais mes doigts entre ses orteils, j'appuyais avec mes pouces sous ses pieds, je caressais les poils qu'il y avait sur le dessus. Je prenais son talon dans la paume de ma main pour mieux le détendre. Je massais même plus loin, jusqu’à ses chevilles poilues, détendait ses mollets. Ils étaient froids, eux aussi. Mais il ne disait rien. Je commençais à avoir une érection, et je crois qu'il l'avait bien senti. Pendant que je le massais, il bougeait ses pieds en même temps, ce qui frottait contre mon entrejambe et donc stimulait mon érection. L'enfoiré, il voulait me chauffer.

   Le match entre Fabien et Mehdi touchait à sa fin, Fabien avait gagné. Mehdi était mauvais perdant. Mais lui, il joue toute la journée chez lui ! Fabien s'est foutu de sa gueule et a tiré le plaid d'un coup sec pour nous emmerder. J'avais encore les pieds de Mehdi dans mes mains, sur mon érection, et il l'a vu. Eh ! Regarde, Julien ! Damien est littéralement en train de bander en caressant les pieds de Mehdi ! Malaise. Mehdi a retiré ses pieds de mes jambes et j'avais bien l'air bête. Fabien s'est mit à rire et et s'est approché de nous. Tu nous avais pas dis Damien que tu bandais sur les pieds, t'aurais pu nous prévenir. Je ne savais pas quoi lui répondre, je pensais avoir gâché la soirée. Mais Fabien a continué de parler. J'ai une idée, si ça vous dérange pas les mecs, et comme Damien aime bien masser les pieds, il va s'occuper des nôtres pendant le tournoi. Ce sera ta mission, Damien, puis-ce que toi tu ne joues pas. D'accord ? J'ai eu un moment d'hésitation, c'était une question piège ? J'en avais pas l'impression. Ils avaient l'air sérieux et tous d'accord avec la proposition de Fabien. Allez, met toi aux pieds de Mehdi, finis de t'occuper de ses pauvres pieds froids puis tu viendras faire ceux de Julien ensuite, vu que tu kiffes ça. 

   C'était trop beau, je voulais pas qu'ils changent d'avis. Alors j'ai obéis et je me suis agenouillé devant Mehdi, qui me regardait droit dans les yeux. Il a levé les pieds pour m'aider à les saisir, puis a pris mon joint que j'avais laissé sur la table. Tu veux fumer une dernière fois avant de commencer ? Après t'auras du boulot. J'ai fumé une taffe puis je lui ai rendu. Un nouveau match entre Fabien et Julien venait de débuter. Ils étaient tous captivés par l'écran de la télé. J'ai pris ses pieds dans mes mains et je les ai massés comme au début. C'était des grands pieds, surement du 46. Je bandais fort. Je voulais aller un peu plus loin. J'ai collé mon visage et mon nez sur la plante de ses pieds. Elle était moite mais pas odorante. L'avantage de se promener pieds nus c'est qu'on ne transpire pas trop. J'ai pris son pieds droit entre mes deux mains et l'ai frotté contre mes arcades, mon nez, ma bouche, mon menton barbu en sniffant bien à la recherche d'une odeur spécifique. Mais lui, il n'en avait pas. Julien a levé ses pieds vers moi et Fabien a claqué des doigts. Mehdi en a assez profité, tu le masses depuis tout a l'heure. Va lécher ceux de Julien maintenant, petite pute.

   J'ai laissé les grands pieds de mon pote Mehdi pour aller toucher ceux de Julien. Il était en chaussettes noires et fines. Je les ai reniflées, ils sentaient déjà plus que Mehdi, mais ça restait léger. Il les a retirées, puis frottait lui même ses pieds sur ma tête et sur mon pull, ça devait être agréable pour lui. Je me touchais la bite à travers mon jogging alors que j'avais trois de ses orteils dans la bouche. Le match continuait, mes potes étaient concentrés dessus. Fabien a pointé ses panards du doigt. Enfin ! Depuis toujours il m'excitait. Petit, poilu, barbu, un visage bien viril. Je le soupçonnais d'être dominant. Il portait des chaussettes de sport blanches, bien épaisses. Le genre de chaussettes qui retient bien les odeurs. Je me met à genoux devant lui et les collent à mon nez. Ouffff. Ça sentait si fort que ça me piquait les narines. Mais c'est l'odeur de mon pote Fabien, je l'apprécie déjà. Il a posé un pied sur ma tête puis a appuyé, me plaquant au sol. Tu seras mon tapis, petit soumis. Avec plaisir... Tout le monde en rigole, et moi je reste au sol tandis qu'il se sert de moi comme d'un repose-pied, un sur ma nuque et l'autre sur mon nez. Je respire le plus d'air possible, mon oxygène n'est composé que de ce qui se dégage de ses pieds odorants. Les pieds d'hétéro, c'est spécial. 

   Il m'a poussé avec son pied, puis a retiré ses chaussettes. Suce. Je n'attend pas, je gobe un à un ses orteils, je passe ma langue autour, je les suce, je n'oublie pas de passer entre. J'embrasse ses panards et les lèche du talon jusqu'au gros orteil. Il devait avoir baisé tellement de meufs, ce beau gosse. J'étais carrément devenu, pour la première fois, celui que j'étais vraiment au fond de moi même. La salope de mon groupe de potes. Le match entre Fabien et Julien était terminé, Fabien avait encore gagné. Maintenant, les mecs, on va tous sortir sa queue pour le dernier match. Ça va se jouer entre Julien et Mehdi. Et pendant ce temps là, Damien, toi, tu vas pomper la teub des champions. De toute façon, c'est ta fonction ce soir. Et ça le sera pour les autres soirées. 

   Je ne pouvais qu'obéir à mon pote Fabien. Son regard noir et perçant lui donnait une certaine autorité quand ils donnaient des ordres. Un parfait chef d'équipe. Fabien a donc sorti sa queue, elle était bien large et brillante de liquide séminal. Au niveau du pubis, il avait la touffe. Mais ça ne me dérangeait pas. Sans attendre, je me l'enfonce dans la gorge. Il était le grand gagnant, le plus fort à FIFA. Il méritait une pipe de vainqueur. Alors pendant qu'il regardait Julien et Mehdi faire leur match, je le suçais énergiquement et avec beaucoup d'entrain. Je l'ai prise dans ma main pour la serrer légèrement, la faisant grossir d'un coup. Puis je continuais de l'avaler. Il parlait avec Mehdi et Julien du match et de meufs pendant que je le pompais goulûment, comme un bon pote ferait. Leur conversation était ponctuée de gémissements incontrôlés de sa part. Elle avait un bon goût de bite. Elle suce bien, cette pute. T'as bien appris, Damien. Tu veux tester, Mehdi ? Il a hoché la tête en montrant sa grosse queue toute dure du doigt, pour me faire signe de venir sur la sienne. Il avait la manette dans ses mains, alors il a du la lever légèrement pour me laisser accéder à sa queue. Longue et circoncise, gros gland. Il fallait ouvrir en grand pour l'avoir entièrement dans la bouche mais le reste de la bite passait normalement. Il n'était pas du tout concentré sur moi, j'avais finalement peu d’intérêt pour eux. J'étais leur vide couille pour la soirée. Elle était agréable à sucer, ça glissait tout seul. Il faisait grossir son gland quand je l'enfonçais dans ma gorge, ça bouchait toute entrée ou sortie d'air. J'ai pris chacun de ses pieds dans mes mains et j'ai continué à faire des vas et viens sur sa bite. Mehdi a eu quelques spasmes. Je vais te juter dans la bouche si tu continues, va avaler celle de Julien, si t'y arrives. 

   Je regarde alors la queue Julien et je reste la bouche ouverte, un peu étonné. Mes potes rigolent de ma réaction. Il cachait bien son jeu, ce con. Sa queue était plus grosse et plus longue que celles de Fabien et Mehdi réunies. J'étais peu sûr de moi, mais je me suis mis complètement à poil, puis à genoux devant Julien. Il avait écarté les jambes pour me laisser l'espace. Il avait de grosses couilles poilues qui s'étalait sur le canapé, et son énorme queue qui bandait parfaitement droit. Je l'ai prise dans ma main, j'en faisais difficilement le tour avec mon pouce et mon index. Elle était brûlante. Je l'ai prise avec mes deux mains pour le branler frénétiquement, en regardant ses burnes bouger en même temps. Puis, en continuant le geste, je le suçais comme je pouvais. Impossible de la gober à plus de la moitié, mais je faisais de mon mieux. Elle durcissait encore plus dans ma bouche, je sentais ses grosses veines sur ma langue, et déjà un léger goût de sperme. 

   Le match était terminé, Julien avait gagné. Ma pipe l'avait aidé à se concentrer. Faire un match sur FIFA avec la bite dans la bouche d'un pote, ça aide. Fabien s'est levé. Maintenant, petite pute, tu vas t'asseoir par terre, au milieu de la pièce, et recevoir notre foutre de champion de FIFA. T'as pas ton mot à dire. Sans attendre, je me suis accroupi au milieu du salon, le regard vers mes potes qui s'avançaient vers moi, debouts. Ils bandaient tous les trois et se branlaient frénétiquement au dessus de ma tête. Lequel allait m'arroser en premier ? Mehdi, qui, en se branlant faisait toucher son gland sur le coin de mes lèvres ? Julien qui se secouait la queue en posant ses couilles sur mon épaule ? Ou Fabien qui était droit devant moi, prêt à me gicler en pleine face ?

   Quoi qu'il en soi, j'étais préparé. Je gardais la bouche ouverte, la langue tirée, et mes potes pouvaient gicler quand ils voulaient et où ils voulaient. J'entendais le bruit de leurs queues, de leurs mains qui frottaient pour purger leur sexe. J'ai sucé un peu celle de Julien, puis celle de Mehdi et enfin celle de Fabien pour les lubrifier et les faire jouir plus rapidement. J'avais faim de leur jus. C'est Julien qui a jouit le premier, j'en avais sur le front, la joue gauche, et les lèvres. Même dans l'oreille. Voyant cela, Mehdi ne pouvait plus se retenir et m'a giclé sur le coté droit. Sur la paupière, le cou, le menton. J'avais du foutre sur les deux paupières, que je ne pouvais plus ouvrir. Fabien allait se vider sur mon visage mais je ne pouvais pas le voir. Alors, à l'aide de ses doigts, il a appuyé sur mes joues pour me forcer à ouvrir la bouche et a enfoncé d'un coup sa grosse queue gluante au fond de ma gorge. Mes trois potes appuyaient sur ma tête pour que je ne m'en tire pas sans tout avaler. Fabien me baisait la bouche comme il baisait les meufs des boites de nuit dont il parlait tant, et je ne pouvais rien faire. Il a poussé un cri et j'ai senti un liquide chaud descendre le long de ma gorge. Même pas besoin d'avaler, ça coulait directement. Comme on gave les canards tout au long de l'année pour le foie gras de Noël.

   La tête pleine de sperme et complètement souillée, mes potes complètement vidés, ils ont repris la soirée normalement et se sont servis des bières, me laissant là, comme un objet à usage unique, comme un mouchoir. Mais j'en étais très heureux. Et une fois nettoyé, je pourrais leur resservir sur demande.


A suivre...

Mojo l'Embrouille.

1 commentaire:

  1. Je trouve que plus de lecteur pourrait prendre 1 minute pour tapoter 1 petit commentaire. Histoire carrément classique du fantasme ultime

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